L’architecture du bureau de poste sur la rue d’Adélaïde à Toronto, construite en 1873, est un exemple parfait de l’influence des techniques architecturales européenne sur les colonies. Effectivement, cette influence sur les bâtiments publics revient à des valeurs d’unités et d’uniformité, c’est une une continuation de l’empire.
James Victor Salmon était un designer pour la compagnie Hydro Toronto et il était aussi un photographe amateur. En effet, il s’intéresse à la photographie des immeubles publics et amasse une collection de 13 000 clichées. Celles-ci furent récupérées par le service de librairie publique de Toronto. De plus, la plupart de ses photos sont celles d’immeubles publics. Le service de librairie publique de Toronto à réussi à numériser 2400 photographies de James Victor Salmon. Effectivement, James Victor Salmon était un photographe amateur, mais plusieurs lui confèrent le pouvoir de montrer la beauté de leur coin de pays en expansion et développement après la deuxième Guerre Mondiale. En effet, Salmon était un homme passionné par l’architecture des bâtiments publics ainsi que les transports publics et c’est-ce qui le poussa à devenir photographe du dimanche (comme il ne fût jamais reconnu comme seulement photographe). Il est même dit que le photographe amateur savait rendre l’effet naturel et croissant de cet endroit en photo. De plus, Salmon était reconnu pour utiliser un médium de photographie négatif ce qui fait que les images enregistrées se retrouvent avec des effets chromatiques et des effets de lumières inversées par rapport à l’image de départ. De plus, Salmon est important pour l’histoire de Toronto, car il s’est intéressé au développement de sa ville par la photographie de bâtiments publics. En effet, plusieurs relatent que malgré sa courte période de travaille en tant que photographe amateur, il a fait une différence dans l’histoire du développement de Toronto et dans la mémorisation de ce que cette ville avait l’air avant l’ère moderne. De plus, Salmon à même écrits des ouvrages sur les immeubles publics ainsi que les transports, ce qui a permis la transmission de ces savoirs ainsi que sa passion pour les travaux publics. En effet, Salmon croyait que le public devait être informés et devaient s’intéressaient aux travaux publics comme la construction des chemins de fer, car ces moyens de transports ou ces immeubles étaient destinés à tous.
L’immeuble photographié, dans ce travail, est le bureau de poste sur la rue d’Adélaïde à Toronto. L’immeuble fût construit en 1873, par l’architecte Henry Langley. De plus, l’architecte Henry Langley fût responsable pour la construction de plusieurs églises dans la ville de Toronto. Effectivement, Langley était notamment reconnu pour son style architecturale gothique qu’il avait apprise de William Hay. En effet, Langley fût l’Apprenti de l’architecte écossais William Hay. Celui-ci lui appris ces techniques sur une durée de sept ans. Lorsque William Hay quitta Toronto en 1861, il proposa à Langley de travailler avec son partenaire Thomas Gundry. Ensuite, la plupart des bâtiments construits furent des églises dans le style du renouveau gothique. Cependant, Le bureau de poste sur la rue Adélaïde ne se classe pas dans ce genre de mouvement artistique. Effectivement, ce bâtiment est fait dans un style néo-classique. En effet, à l’avant de l’immeuble ont peut voir huit pairs de demi-colonnes sur des socles. De plus, au-dessous de la porte il y a deux frontons qui se superposent à une certaine distance. Enfin, un dôme surplombe le toit de l’immeuble ce qui accentue l’influence architecturale de l’empire colonial. En effet, l’aspect fonctionnel de l’immeuble vient déterminer le choix architectural ainsi que le pouvoir de l’Empire. Effectivement, il est important de mentionner que le style architectural de Langley était typiquement néo-gothique. En revanche, pour la construction de cet immeuble, la préférence de l’architecte fût mise de côté, car l’immeuble à une fonction de messager entre l’empire et la colonie. Le style choisis crée une uniformité entre l’empire et la colonie et en fait renforce l’idée que l’empire est la base et la ligne directrice du style architectural des bâtiments publics dans la colonie.
De plus, la photographie de Salmon, montre le bureau de poste 82 ans après sa construction dans un ère social totalement différent. De plus, si l’on observe les voitures stationnées dans la rue, on observe que l’immeuble se fait vieux et détonne dans l’environnement plus moderne. De plus, l’immeuble sera détruit en 1960, donc cinq ans près la photo de Salmon. Effectivement, l’immeuble sera détruit dans le but de construire des tours de bureau, car le bureau de poste se trouvait dans ce qui est maintenant appelé le secteur financier de Toronto.
Pour conclure, Salmon fût un très bon photographe amateur, pour capturer l’essence du bureau de poste de la rue d’Adélaïde, car dans la photo il est perceptible que ce bâtiment est voué à être désuet. Effectivement, le photographe était reconnu pour prendre des photos de la ville de Toronto et de capturer ses changements. C’est exactement ce qu’il à fait avec ce bâtiment, en le prenant en photo il permet la préservation de cet immeuble. De plus, l’architecture de ce bâtiment démontre une claire influence de l’empire britannique, puisque l’architecte n’était pas reconnu pour ce genre de style. Il a donc dû se contraindre aux instructions de l’empire pour respecter une uniformité publique. De surcroit, la construction de cet immeuble fut dans un style néo-classique qui ne fut pas intemporel vu les demandes sur le marché.
Bibliographie:
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